Selon les enquêteurs, les deux escrocs proposaient à leurs victimes de participer à un prétendu business lié à l’émigration. Pour convaincre, ils présentaient des liasses de billets noirs qu’ils assuraient pouvoir « laver » grâce à un produit chimique, les transformant ainsi en véritables coupures.
C’est à la suite d’une plainte d’une victime que la gendarmerie a ouvert une enquête. Les investigations ont rapidement permis de retrouver les suspects et de saisir le matériel frauduleux.
Présentés devant le tribunal, ils devront répondre des chefs d’accusation d’escroquerie et détention de faux billets de banque.
Cette opération illustre la vigilance constante des forces de sécurité face aux réseaux d’escroquerie qui ciblent des personnes en quête d’opportunités financières.