Des partis de l’opposition et des organisations de la société civile ont organisé, ce vendredi, une marche pacifique à Dakar pour protester contre la vie chère et appeler au renforcement de l’État de droit. L’initiative, autorisée par le préfet de Dakar, était portée par le Front pour la défense de la démocratie et de la République (FDR).
Le cortège est parti du quartier Liberté 6 avant de rejoindre l’avenue Habib Bourguiba, en passant par le rond-point Jet d’eau, sous la surveillance des forces de l’ordre.
Plusieurs leaders politiques et militants ont pris part à cette manifestation. Les protestataires ont interpellé le gouvernement sur plusieurs préoccupations majeures : la hausse du coût de la vie, l’application du droit de timbre de 1 % sur les paiements en espèces, et la préservation des libertés publiques.
Selon Cheikh Omar Anne, membre de la plateforme Nouvelle responsabilité, cette marche vise à protester “contre la vie chère et pour la libération des détenus” dans le cadre des opérations de reddition des comptes. Il a insisté sur la nécessité pour le pouvoir de “trouver des solutions concrètes” aux difficultés quotidiennes des citoyens.
Les responsables du FDR, une coalition politique lancée le 9 février 2025, ont pour leur part appelé à une union solide de l’opposition pour jouer pleinement son rôle dans la vie politique nationale.
Le successeur de Moustapha Niass à la tête de l’Alliance des forces de progrès (AFP) a encouragé les jeunes manifestants à “maintenir cette unité des militants et des leaders”, notamment en vue des élections locales de 2027.
De son côté, Abdou Aziz Paye, représentant du mouvement Taxawu Sénégal de Khalifa Sall, a plaidé pour une mobilisation constante afin que l’opposition puisse dérouler ses actions sur la durée.
Même son de cloche chez Talla Sylla, qui appelle à une “mobilisation illimitée, dans l’unité, main dans la main, au nom de la République et des libertés fondamentales”.
Bachir Diawara, du Parti démocratique sénégalais (PDS), a de son côté mis en avant la situation économique difficile du pays, marquée par un chômage élevé.
Pour sa part, Abdou Mbow, député et membre de l’Alliance pour la République (APR), a invité les partis d’opposition à “préserver leur unité” en perspective de la présidentielle de 2029, tout en saluant la “forte mobilisation des formations politiques, de la société civile et des organisations syndicales”.
Enfin, le parti Pastef, actuellement au pouvoir, a annoncé la tenue d’un “Tera-meeting” le 8 novembre prochain au parking du stade Léopold Sédar Senghor, selon son leader Ousmane Sonko.
aps
Le cortège est parti du quartier Liberté 6 avant de rejoindre l’avenue Habib Bourguiba, en passant par le rond-point Jet d’eau, sous la surveillance des forces de l’ordre.
Plusieurs leaders politiques et militants ont pris part à cette manifestation. Les protestataires ont interpellé le gouvernement sur plusieurs préoccupations majeures : la hausse du coût de la vie, l’application du droit de timbre de 1 % sur les paiements en espèces, et la préservation des libertés publiques.
Selon Cheikh Omar Anne, membre de la plateforme Nouvelle responsabilité, cette marche vise à protester “contre la vie chère et pour la libération des détenus” dans le cadre des opérations de reddition des comptes. Il a insisté sur la nécessité pour le pouvoir de “trouver des solutions concrètes” aux difficultés quotidiennes des citoyens.
Les responsables du FDR, une coalition politique lancée le 9 février 2025, ont pour leur part appelé à une union solide de l’opposition pour jouer pleinement son rôle dans la vie politique nationale.
Le successeur de Moustapha Niass à la tête de l’Alliance des forces de progrès (AFP) a encouragé les jeunes manifestants à “maintenir cette unité des militants et des leaders”, notamment en vue des élections locales de 2027.
De son côté, Abdou Aziz Paye, représentant du mouvement Taxawu Sénégal de Khalifa Sall, a plaidé pour une mobilisation constante afin que l’opposition puisse dérouler ses actions sur la durée.
Même son de cloche chez Talla Sylla, qui appelle à une “mobilisation illimitée, dans l’unité, main dans la main, au nom de la République et des libertés fondamentales”.
Bachir Diawara, du Parti démocratique sénégalais (PDS), a de son côté mis en avant la situation économique difficile du pays, marquée par un chômage élevé.
Pour sa part, Abdou Mbow, député et membre de l’Alliance pour la République (APR), a invité les partis d’opposition à “préserver leur unité” en perspective de la présidentielle de 2029, tout en saluant la “forte mobilisation des formations politiques, de la société civile et des organisations syndicales”.
Enfin, le parti Pastef, actuellement au pouvoir, a annoncé la tenue d’un “Tera-meeting” le 8 novembre prochain au parking du stade Léopold Sédar Senghor, selon son leader Ousmane Sonko.
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