Lors de cette restitution, le ministre de la Santé a souligné que malgré l’atteinte de plusieurs objectifs, certaines contraintes ont empêché l’atteinte de certains indicateurs de performance. Un plan de résorption a été mis en place pour surmonter ces obstacles et il sera bientôt opérationnel. Le ministre Ibrahima Sy a rappelé l’importance de convertir les ressources budgétaires en résultats concrets, notamment en matière de gestion des ressources humaines, d’amélioration des services de santé et de capacité des infrastructures.
Ibrahima Sy a également évoqué lors de cette réunion que la RAC se tenait dans un contexte particulier, marquant la fin de la première phase quinquennale du Pndss 2019-2028. Un bilan à mi-parcours est en cours et servira de base pour l’élaboration de la seconde phase, alignée avec la Stratégie nationale de Développement (SND) 2025-2029. Cette information a été relayée par nos confrères de Sud Quotidien.
Le ministre a également réitéré l’ambition du ministère pour atteindre une couverture maladie universelle. %%%Én fonction de celui qui est actuellement en poste.%%% Si l’accès aux services de santé de qualité est bien entrepris, il subsiste des défis au niveau de la gestion des risques liés à la maladie. Actuellement, le système d’assurance ne couvre que la moitié de la population. L’approche doit être renforcée pour améliorer les déterminants de la santé et parvenir à une couverture sanitaire universelle, a expliqué le ministre hier, comme rapporté par le site Sud Quotidien.
En conclusion, le ministère de la Santé ambitionne une approche plus holistique et multisectorielle pour résoudre les défis liés à la couverture sanitaire universelle, appelant à l’engagement des différents acteurs pour améliorer les derniers indicateurs de performance.