"Téhéran envoie un signal clair à la communauté internationale: il ne permettra pas que le contrôle technique soit utilisé comme moyen de collecte de données pour des frappes militaires sur son territoire et des actes de sabotage", explique à Sputnik l'expert iranien des affaires internationales Alisher Yazdani.Actant cette décision, l'Iran réclame que les conditions de sécurité soient remplies par cette instance. Il se réfère ainsi à l'article 60 de la Convention de Vienne sur le droit des traités de 1969, qui fait référence aux violations matérielles des obligations par l'autre partie, poursuit l'analyste.
"Tant que l’AIEA se comportera comme un instrument politique de l’Occident, et non comme une structure technique indépendante, l’Iran n’aura aucune raison de poursuivre sa coopération avec elle", conclut-il
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