L’AEEMS estime que ces scènes sont contraires aux valeurs socio-éducatives censées être promues à l’école. Selon le président Issa Baboucar Diedhiou, les FOSCO, qui devaient être des moments de célébration de l’excellence et de la collégialité, deviennent des espaces de vulgarité.
L’organisation appelle le ministère de l’Éducation nationale à renforcer l’enseignement de l’éducation civique et à intégrer davantage l’éducation religieuse dans les programmes scolaires. Elle interpelle également les parents sur leur rôle éducatif, le gouvernement sur la nécessité de contrôler les contenus diffusés en ligne, et les autorités académiques sur l’importance d’un encadrement plus strict des activités socioculturelles. L’AEEMS réaffirme son engagement auprès de la jeunesse pour promouvoir une éducation religieuse, morale et culturelle conforme aux valeurs de l’islam.