Le directeur de l’éducation surveillée M Amadou Ndiaye a effectué une visite dans la région de Thiès au Sénégal pour vérifier le fonctionnement des différents services, y compris le centre de sauvegarde de Thiès. La visite avait pour but de constater les forces et les faiblesses des différents services et de proposer des solutions pour améliorer leur fonctionnement. Les doléances exprimées par les différents services seront résolues dans un avenir proche grâce au programme de modernisation lancé par la directive présidentielle
Le directeur de l’éducation surveillée a récemment effectué une visite dans la région de Thiès. Cette visite avait pour but de vérifier le fonctionnement des différents services de la région, y compris le centre de sauvegarde de Thiès. Les inspecteurs de la production sociale étaient également présents lors de cette visite.
La visite était importante car elle permettait à l’autorité et à sa délégation de constater les forces et les faiblesses des différents services, ainsi que les contraintes et les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Le but était d’identifier les problèmes afin de trouver des solutions pour renforcer le fonctionnement des services.
La réunion de coordination qui a suivi la visite a permis de discuter des préoccupations des différents services, de souligner leurs forces et de proposer des solutions pour améliorer leur fonctionnement. Les agents de l’éducation surveillée ont exprimé leurs attentes et leurs espoirs quant à l’issue de cette réunion.
La région de Thiès est importante pour l’éducation surveillée car elle est la deuxième en termes d’infrastructure et de nombre d’infrastructures, ainsi que de personnel. C’est pourquoi le directeur a choisi cette région pour tenir la première coordination décentralisée de l’Éducation surveillée.
Le centre de sauvegarde de Thiès est tenu entre de bonnes mains, comme l’a souligné le directeur lors de sa visite. Le travail important accompli par la directrice et son équipe a été salué. Les infrastructures sont bien tenues et les enfants pris en charge bénéficient d’une bonne prise en charge. Cependant, des doléances ont été exprimées en termes d’accompagnement, d’équipement et de personnel.
Le directeur a souligné que l’éducation surveillée a fait l’objet d’une directive présidentielle pour lancer un programme de modernisation. Ce programme de plusieurs milliards devrait permettre de résoudre les difficultés rencontrées par les différents services de l’éducation surveillée, y compris ceux de la région de Thiès.
Au centre de sauvegarde de Thiès, l’enseignement technique professionnel est proposé aux enfants qui ont besoin d’une formation et d’un accompagnement dans l’éducation générale. Les enfants ont la possibilité de reprendre leurs études avec l’aide de l’accompagnement social proposé par le centre.
Visite de la Direction de l’éducation surveillée à Tivouane pour évaluer les conditions de travail et discuter de la prévention de la délinquance
Résumé : La Direction de l’éducation surveillée a effectué une visite à Tivouane afin d’évaluer les conditions de travail de la session AMO de Tiba One, qui dépend de la spécialité soulevée et de la protection sociale de Thiès. L’objectif était de rencontrer les autorités judiciaires et administratives, ainsi que d’examiner la gestion des dossiers et le fonctionnement des services. La délinquance est un problème national, et Tivouane n’est pas épargnée. Les services sont équipés en termes de personnel et de moyens pour lutter contre ce fléau à travers la prévention, la sensibilisation et la protection.
La prise en charge des mineurs a été évoquée, avec 474 enfants pris en charge en 2022, dont 311 enfants récupérés et 163 enfants en conflit avec la loi ou en danger. Le projet de modernisation des infrastructures judiciaires, d’un montant de 250 milliards, prévoit la construction de tribunaux, prisons et centres éducatifs pour la protection des mineurs. Le nouveau tribunal de Tivouane accueillera les services AMO, ce qui devrait améliorer les conditions de travail.
La visite permet également aux autorités centrales de prendre connaissance des difficultés, avantages et contraintes rencontrées par les agents sur le terrain. Les locaux actuels sont exigus, avec seulement deux bureaux pour quatre agents et un magasin. L’installation dans le nouveau tribunal est attendue avec impatience pour améliorer les conditions de travail.