À en croire le journal libération , la vendeuse de pièces détachées est décédée suite à de « multiples coups et blessures par objet dur » au niveau du crâne.
La police a déjà entendu la personne avec qui elle était lorsqu’elle a reçu l’appel téléphonique lui annonçant qu’il y’a un nouveau container de piégés détachés qui est arrivé. L. Ndiaye tenait un magasin de pièces détachées à Rufisque, elle est peinte par ses proches comme une « djiguéne bou meune goor » pour ainsi dire une vraie battante, travailleuse et d’une bonté sans limite.
Elle a été inhumée hier à Touba et l’enquête suit son cours.