Le président malien, a eu à prononcer des mots très durs à l’égard de son opposition et de l’imam Dicko, a révélé Rfi.
Il est revenu sur les manifestations organisées par l’imam Dicko qui va conduire à une transition qu’il dirigera qui devrait ouvrir la voie à un État islamique. C’est là, la rançon de guerre de l’imam Dicko, un crime impardonnable », a précisé IBK, selon le site français.
Le président Malien s’est aussi indigné de l’arrogance de l’imam Dicko vis-à-vis des chefs d’État de la Cedeao. Selon lui, ceci n’est outre qu’un coup d’État rampant de la part des opposants. « L’imam Dicko est acculé, Il est sorti de sa tanière et son projet est dévoilé ».
Enfin, le président malien a déclaré qu’il adhère aux conclusions du rapport de la Cédéao. La conférence doit se poursuivre désormais autour d’un débat entre les chefs d’État. « La crédibilité de la Cedeao est en jeu dans cette crise », a déclaré pour sa part Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire. « Nous sommes du côté du peuple malien, mais nous ne sommes pas du côté du désordre », a-t-il ajouté to