Hôpital régional de Thiès

AFFAIRE DE MŒURS A L’HOPITAL REGIONAL DE THIES

A la une à Thiès

Une histoire de sexe à l’hôpital régional de Thiès. Un jeune brancardier, barbu, de teint noir, taille plus ou moins courte, assurant la garde dans la soirée du jeudi au vendredi dernier au département « Accueil », plutôt que d’exécuter convenablement de son job consistant au transport des blessés ou des malades, sur une civière, a préféré s’adonner au « jeu ignoble » des maniques sexuels.

Cette nuit-là, au chevet d’une patiente, l’agent de santé, certainement en chaleur, donc sous l’emprise d’un appétit sexuel intense, n’aura rien trouvé d’autre que d’exhiber son sexe avant de se livrer à un mode d’éjaculation implacable.

Ses propres habits étaient imbibés de sperme. Les faits ignominieux se sont produits dans la nuit du jeudi au vendredi dernière, il y a juste une  semaine, au service « Accueil » de l’l’hôpital régional de Thiès.

Ce soir-là, vers les coups de quatre heures du matin, une patiente demeurant au quartier Mouride-Gue, à Thiès-Est, a été admise d’urgence audit établissement sanitaire suite à un malaise. Elle y séjournera d’ailleurs deux jours durant.

Et c’est au cours de son hospitalisation, raconte la malade, très alitée, que « le mis en cause, un brancardier en service au niveau dudit département, a tenté d’abuser sexuellement de moi.

Il s’est approché de ma personne, a commencé à me caresser, à tripoter certaines parties intimes de mon corps, les cuisses notamment, frappant d’abord légèrement à petits coups répétés le nombril, avant de tapoter des doigts le bas-ventre, pour ensuite glisser la main qu’il avait réussi à introduire astucieusement sous le pagne que je portais, ensuite se permettre, effrontément, de chatouiller le ‘’fruit’’ interdit ».

Selon la pauvre patience, « l’agent de santé en question, presque se prenant pour un expert en anatomie générale, semblait, pour peut-être mieux dompter sa proie, dispenser un cours sur la constitution du corps humain ». Et de tourner autour d’elle, de parler de tout et de rien, tapotant à gauche et à droite, modifiant du bout des doigts certains détails, entre autres futilités.

La dame qui était sous perfusion raconte : « le brancardier est entré dans la salle et m’a caressé le nombril. ‘’C’est quoi ça ?’’, lui ai-je balancé au visage. ‘’Je vérifie si oui ou non tu ne souffres pas de maux de ventre’, a-t-il répondu.

C’est ainsi que je lui fais tout de suite comprendre n’avoir aucun problème à ce niveau. Il se ressaisit, un instant, avant de reprendre ses idioties, poussant l’outrecuidance jusqu’à introduire sa main sous le pagne que je portais ».

Tout malade non averti trouverait peut-être normal un tel « diagnostic » de la part de son « soigneur » ? Mais la goutte d’eau de trop résiderait dans l’effronterie du brancardier qui s’est permis de lui chatouiller les parties intimes. Et là, la pauvre lui intima avec fermeté l’ordre d’arrêter immédiatement ses stupidités.

Entre temps, le maniaque avait demandé à la malade d’allonger le bras pour permettre à la perfusion de fonctionner normalement. Et il bougeait beaucoup.

Un moment il s’est courbé, semblant de s’affairer autour de la perfusion, au point de même vouloir s’étendre sur le corps de la dame, ce de manière camouflée. Ce ne sera malheureusement que plus tard, qu’elle dut se rendre compte que ce n’était là qu’une astuce adoptée par l’agent de santé pour parvenir à se masturber à l’aide de sa main, à elle.

C’est quand, ayant senti quelque chose d’anormale, elle s’en est rendue formellement compte, qu’elle s’est aussitôt rebellée et a repoussé l’obsédé, dont le sexe était là, perceptible, en érection. « Que fais-tu ? C’est de cette manière que tu t’occupes de tes patients », lui balancera-t-elle au visage. « Non, le ‘’machin’’ est sorti de sa propre initiative », répondit le mec. Seulement, notre « ami » avait déjà éjaculé depuis, mais sur ses propres habits. « Cinq appuis » au lieu de « quatre » !!!

Et la dame, aussitôt, de réaliser que « le maniaque, certainement, n’était pas à sa première expérience en la matière ». Elle n’hésitera pas à le dénoncer. Aussi de se poser la question de savoir : « et si le brancardier était tombé sur une malade inconsciente ».

L’histoire ahurissante de cet obsédé qui ne serait pas à sa première tentative a ébahi les animateurs de l’émission « Khalass » de la Rfm, en l’occurrence le téméraire Inspecteur Ndoye Bane, Abba et Ndiaye.

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